Saviez-vous ?
La premier entretien est crucial dans la relation d’aide
Conduire un premier entretien est une tâche délicate et exigeante. Pression du temps, peur de l’inconnu, agressivité des clients, augmentation des personnes souffrant de troubles psychiques, mettent les professionnels à rude épreuve.
Nous attribuons souvent l’échec du premier contact aux affinités personnelles ou aux incompatibilités de caractère. À tort. L’échec de cette rencontre repose la plupart du temps sur un manque de savoir-faire de l’intervenant. Il est important que celui-ci pose son cadre d’intervention en traçant les limites de son action en fonction de la mission et des buts de l’organisation qui l’emploie. Cette étape permet aux protagonistes d’ajuster leurs représentations réciproques, ce qui dissipera aussi bien les attentes irréalistes ou démesurées du client que celles du professionnel.
Paradoxalement, les limites renforcent la compétence du professionnel et constituent le socle de son intervention. C’est à partir de cet ancrage que celui-ci développera ses compétences d’accompagnant, d’assistant social, d’éducateur, de soignant, d’enseignant, de coach, etc., et pourra ainsi faire face aux divers imprévus et perturbations qui se présenteront à lui.
Conduire un premier entretien est une tâche délicate et exigeante. Pression du temps, peur de l’inconnu, agressivité des clients, augmentation des personnes souffrant de troubles psychiques, mettent les professionnels à rude épreuve.
Nous attribuons souvent l’échec du premier contact aux affinités personnelles ou aux incompatibilités de caractère. À tort. L’échec de cette rencontre repose la plupart du temps sur un manque de savoir-faire de l’intervenant. Il est important que celui-ci pose son cadre d’intervention en traçant les limites de son action en fonction de la mission et des buts de l’organisation qui l’emploie. Cette étape permet aux protagonistes d’ajuster leurs représentations réciproques, ce qui dissipera aussi bien les attentes irréalistes ou démesurées du client que celles du professionnel.
Paradoxalement, les limites renforcent la compétence du professionnel et constituent le socle de son intervention. C’est à partir de cet ancrage que celui-ci développera ses compétences d’accompagnant, d’assistant social, d’éducateur, de soignant, d’enseignant, de coach, etc., et pourra ainsi faire face aux divers imprévus et perturbations qui se présenteront à lui.